Mini-robe froncée au niveau du buste

Un bâtiment en terre cuite rompt avec le ciel bleu perçant et la mer éternelle d'Amalfi. Nous sommes arrivés au Grand Hôtel Excelsior Vittoria, et il est unique en son genre. Le soleil de la côte illumine les plafonds peints à la main et ornés de chérubins et de bustes en marbre enveloppés de fleurs de bord de mer, tandis que les tables sont disposées sur la terrasse pour que l'on puisse contempler le lever du soleil et lever son verre au coucher du soleil. La vue sur le Vésuve, Capri à portée de souffle, l'ambiance royale et l'amour tout autour... Ici, en Italie, je suis vibrante et sans limites. Pas de plans, juste des possibilités. Dans les ruelles de Rome, je griffonne des notes d'amour à moi-même et au monde sur les pavés et les serviettes de table. Je me déploie sous des plafonds peints, flanquée d'un troupeau de chérubins attentionnés. À Milan, je danse au son des musiciens de rue qui jouent ma chanson et je suis la muse des poètes et des artistes. Mes cheveux bouclent et se froissent chaque matin, tout droit sortis de l'Amalfi. Je saute des rochers trop hauts dans l'océan sans fin et je charme sur la banquette arrière de la vespa d'un étranger. De Ravello à Positano, en passant par Capri et Sorrente. Une boucle infinie de sensations estivales. Mon Italie, Amore Mio.